lundi 15 mars 2010

jeudi 4 mars 2010

Ensemble...tout devient possible




Il ne faut pas que les Bourguignons s’y trompent.
Malgré ses efforts de communication, le candidat Nouveau Centre est bel et bien le même qui, à Paris, vote les mesures les plus scélérates du gouvernement :

- la hausse du forfait hospitalier,
- le travail le dimanche,
- la fiscalisation des indemnités des accidents du travail (alors même que certains de ses collègues du groupe NC à l’Assemblée nationale avaient le courage de voter contre),
- le projet de loi relatif à la maîtrise de l’immigration et à l’intégration,
- les décisions gouvernementales qui ont paupérisé le monde agricole…

Et la liste est loin d’être exhaustive !

A cela s'ajoute une liste de taxes instaurées par la majorité présidentielle que représente Sauvadet en Bourgogne:

- Taxe sur l'intéressement, la participation et l’épargne salariale (400 millions) : doublement du « forfait social ».
- Hausse du forfait hospitalier : par jour, un patient s’acquitte désormais d’un forfait hospitalier de 18 € contre 16 € auparavant (850 millions)
- Hausse de la redevance télévision (20 millions) : 2 € de plus par an !
- Fiscalisation des indemnités journalières versées par la Sécurité sociale pour les accidents du travail que nous avons combattue au Parlement qui s’appliqueront dès cette année
- Taxe sur les mutuelles et les assurances (1 milliard) : Même les mutuelles sont taxées alors que dans le même temps les patients sont moins remboursés ! La hausse du tarif des assurances complémentaires est de 5% en moyenne.
- Taxe pour le financement du RSA (entre 1 et 2 milliards)
- Taxe sur les stock-options
- Hausse des cotisations retraites (150 millions)
- Taxe sur la publicité des chaînes privées
- Taxe sur les compagnies pétrolières (150 millions)
- Taxe pour financer la prime à la cuve (100 millions)
- Taxe pour copie privée des disques durs externes et clés USB (167 millions)
- Taxe sur le poisson (80 millions)
- Taxe sur les huiles moteurs (44 € par tonne de lubrifiant)
- Taxe sur les imprimés publicitaires
- Contribution exceptionnelle sur les ventes en gros de produits pharmaceutiques (50 millions)
- Taxe sur la téléphonie mobile (80 millions minimum)
- Taxe sur les grosses cylindrées (malus auto annualisé : 160 € par an par auto)


Désormais, si proche de l'heure à laquelle les bourguignons devront décider de leur avenir pour les 4 ou 6 prochaines années, il devra expliquer et justifier ses choix qui ont participé à accentuer les inégalités sociales ou à réduire le pouvoir d’achat des Bourguignons.

Par le biais d’une communication tous azimuts, Sauvadet avance le plus souvent masqué.
Mais nous l'avons démasqué en vous informant de la naissance d'une espèce nouvelle d'homo politicus: Sarkauvadet.

jeudi 25 février 2010

Et moi et moi et moi...



Voilà un cliché témoignant de la conception que se fait Sauvadet d'une campagne électorale. Cette mise en abîme de lui-même atteste à elle seule de ce que ce dernier propose à la Bourgogne: un faire valoir.

Prêt à tout pour être ministre, Sauvadet n'a qu'un programme: se créer un "emploi tremplin" consistant à utiliser les bourguignons, à travers la présidence du conseil régional, pour parvenir à ses fins.

Lorsque seul subsiste le sur-moi, il semble qu'à trop avoir d'égo, on en perd son amour propre.
Mais nous vous l'avons dit, une espèce nouvelle d'homo politicus est née: Sarkauvadet.

vendredi 19 février 2010

Lapsus révélateur


Christian Estrosi soutient le PS en Bourgogne ?
envoyé par jerrk. - L'info video en direct.


Voila un bien triste propos de M. Estrosi, ministre de l'industrie, venu soutenir son ami Sarkauvadet en meeting à Blanzy, témoignant à lui seul du fait que la droite elle même ne croit plus en elle.

A force de mentir au gens, on ne sait plus ce que l'on dit!

Pour notre part, nous aurions préféré que le ministre de l'industrie soutienne les 400 employés de Michelin qui se voient désormais privés de toutes ressources suite au plan de licenciement validé par ce même ministre.

jeudi 18 février 2010

Le « fast-food électoral »

Dans un article paru aujourd’hui dans le quotidien nivernais, le Journal du Centre, le Maire et Conseiller Régional sortant de Pouilly-sur-Loire, Jean Lété, nous offre une vision objective, puisque vue de l’intérieure, de la « famille de droite » en Bourgogne, et notamment dans le cadre des élections régionales de mars prochain.

« On m’a offert une 10è voire 11è place. C’était de la provocation qui portait atteinte à mon honneur. Je gêne car je ne suis pas un béni-oui-oui ».

« Je rigole de cette mascarade. Ils ont ignoré la droite non encartée que je voulais rassembler avec les partis. Cette liste provoque la désunion. C’est un fast-food électoral ».

« Les pires ennemis sont dans votre propre famille. Je ne me priverai pas de liberté de parole ».


Que dire ? Si ce n’est que la droite, par ce témoignage d’un de ses principaux représentants dans la Nièvre et en Bourgogne, dispose d’une conception on ne peut plus individualiste et belliqueuse de la fraternité. En somme, aujourd’hui, à droite en Bourgogne, c’est les copains d’abord !
Comme Sarkozy a imposé le candidat de la droite en Bourgogne, Sauvadet a semble t’il imposé les candidats figurant sur les listes départementales.

En ce sens, par le fait de ses actions, la droite de Sarkauvadet démontre que l’injustice est désormais érigée comme norme.

Mais nous vous l’avions déjà dit, une espèce nouvelle d’homo-politicus est née : Sarkauvadet.

Police partout, justice nulle part!

Lundi soir à Blanzy en Saône et Loire, se déroulait un meeting du candidat de la majorité présidentielle, Sauvadet, accompagné une fois de plus d’un ministre, cette fois-ci de l’industrie, Christian Estrosi.

Ainsi, nous avons pu constater que des hordes de CRS furent postées tout autour de l’enceinte à l’intérieure de laquelle se déroulait le dit meeting. Selon les témoignages des passants, « l’état de siège » semblait avoir été décrété par le préfet, bras armé de Sarkozy.
Le ministre de l’industrie n’ayant pas daigné se rendre sur le site de l’usine Michelin après avoir validé un plan de licenciement visant plus de 400 employés, celui-ci aurait-il pris les devants afin de ne pas voir s’inviter les représentants sociaux de ces laissés pour compte de la politique présidentielle ?

Parler au peuple mais ne surtout pas l’entendre. Voilà le fondement de la République d’après 2007, celle de Sarkozy et de son sot-valet de Côte-d’Or.

Une fois de plus, nous vous l’avons dit, une espèce nouvelle d’homo-politicus est née : Sarkauvadet.

mardi 16 février 2010

La volte face de Sauvadet : au royaume des couards, les pleutres sont rois !

Alors que selon nos informations, était prévue une série de quatre débats entre les deux principaux candidats aux élections régionales en Bourgogne, le favori et Président sortant du Conseil Régional, François Patriat et l’outsider François Sauvadet, monté par Sarko et la majorité présidentielle, il semblerait que la témérité ne fut pas de mise du côté du second.

Furent organisés, d’après les engagements donnés par les deux candidats, les quatre débats suivants : face aux organisations patronales afin de présenter les différents programmes économiques, MEDEF le 4 mars et CGPME la semaine suivante ainsi que sur les ondes télévisuelles, LCI la chaîne d’information en continue le 23 février et LCP la chaîne parlementaire le 17 février.
Seulement, au dernier moment, et notamment après l’envoi de 2500 invitations de la part du MEDEF à destination de chefs d’entreprises, Sarkauvadet décida d’annuler la prestation pour finalement préférer intervenir seul face aux organisations patronales. En outre, concernant les débats télévisés, celui-ci aurait opté pour le même choix, l’annulation pure et simple, estimant ne devoir pas débattre seul face au candidat sortant mais en compagnie d’autres représentants de listes candidates à cette même élections. Ne paraissant pas vouloir faire face à François Patriat, pourtant qualifié de « pépère » selon ses dires, Sarkauvadet ne sentant pas la force d’affronter celui-ci, aurait semble-t’il sollicité la présence d’autres candidats pour le soutenir dans la difficile tâche consistant à prétendre offrir une alternative à la politique juste et solidaire menée en Bourgogne depuis 2004.

Pâle conception de l’engagement et du respect de la parole donnée.
Molle conception de l’affrontement politique démocratique, un peu comme si ce soir, Lyon proposait à l’UEFA d'alligner deux ou trois joueurs supplémentaires contre le Real Madrid !
Seulement, les lyonnais, contrairement à Sarkauvadet, habitués de ces joutes européennes, préfèreraient sans doute perdre à 11 contre 11 que de gagner à 12 contre 11, sachant bien que le mérite n’existe que du fait que par le biais de la justice chacun puisse bénéficier des mêmes chances dès le départ.

Mais nous vous l’avons dit, une espèce nouvelle d’homo-politicus est née : Sarkauvadet

jeudi 11 février 2010

La terrible réalité

Quel ne fut pas notre étonnement lorsqu'en consultant, d'après le site lemonde.fr, un article traitant, sur la base d'une carte de France, des différentes régions pouvant basculer dans l'escarcelle de la majorité présidentielle, nous avons pu constater à quel point Sarkauvadet souffrait d'un terrible déficit de notoriété.



En effet, en cliquant sur la Bourgogne, région qui nous intéresse plus que particulièrement, il est possible de constater que le candidat de Sarkozy en Bourgogne avait été confondu avec...une candidate.
Et pas n'importe laquelle: Bernadette Malgorn, autre valet de province du souverain absolu, ancienne préfète de la région Bretagne, bien connue pour sa politique "sécuritaire et provocatrice" aux dires de l'ancien Maire de Rennes Edmond Hervé. A son tableau de chasse, elle affiche le mérite d'avoir matérialisé avant l'heure le bien célèbre "passage au karcher", puisque celle-ci donna l'ordre il y a quelques années, d'évacuer par ce biais la jeune population de la rue Saint Michel, plus connue à Rennes sous le nom de "rue de la soif". En outre, celle-ci sera la candidate de l'hyper-président aux élections régionales en Bretagne, au grand damne des fédérations UMP bretonnes. Définitivement d'ailleurs, cela témoigne après le triste épisode du Guilvinec, que Sarkozy en Bretagne comme dans le reste des régions de fFrance, ne sait pas écouter les autres,pas même lorsqu'ils sont de son propre camp.

Nous vous l'avons dit, une espèce nouvelle d'homo-politicus est née: Sarkauvadet.
Une espèce qui du point de vue des journalistes politiques du Monde, ne semble bénéficier d'aucune reconnaissance.

La république d'après 2007




Lundi, le peuple dijonnais fut honoré de la présence d’un des ministres de la République sur ses terres : Hervé Morin, ministre de la défense, classé 4ème au box office mondial des vendeurs d’armes et président du parti politique Nouveau Centre, créé en 2007 pour offrir au souverain absolu Sarkozy une conscience démocratique, lui permettant de mettre en place son nouveau contrat social, fondé sur la loi du plus fort.
En ce sens, un vent de terreur sembla souffler sur la capitale des ducs de Bourgogne. Les mères avaient-elles pris peur du fait que ce négociant en canons et autres missiles en tous genres puisse-t'être venu chez nous rafler leurs fils pour fournir aux américains des soldats en Afghanistan ?
Rassurés nous fûmes, lorsque nous nous rendîmes compte que celui-ci n’était de passage que pour présenter le projet de la construction d’un bâtiment nouveau pour abriter les militaires de la BA 102 de Longvic.

Seulement, la visite ne s’arrêta pas là. En effet, le ministre, après une bien courte présence sur la base aérienne, ne laissant peu de doute quant à l’intérêt qu’il porte à celle-ci et aux hommes dévoués à la République qui la peuple, avait entrepris de rendre une petite visite à son bon camarade Sarkauvadet. Nous pûmes constater de facto, que les moyens logistiques, énormes, (avion de la République française, voitures de fonctions estampillées de cocardes de la même marque, service de protection digne des grandes stars hollywoodiennes), moyens sommes toutes disproportionnés au regard de ce petit homme bien méconnu du peuple français, furent mis à disposition par le souverain absolu, au nom de la République et dans le simple but de permettre à un homme de visiter l’un de ses amis en campagne dans une région de province.

De fait, devons nous penser que le destin de Sarkauvadet en Bourgogne nécessite un aussi grand sacrifice financier de la part de la République française ?
Le candidat sortant aurait-il mis en péril celle-ci, à tel point qu’elle fut obligée de sortir le grand jeu pour le contrer ?

Ou, finalement, Sarkauvadet aurait-il tellement besoin de diriger cette région qu’il serait devenu essentiel à la « République d'après 2007 » d’employer tous les moyens lui permettant d’accéder à cette fin ?

Il semblerait, au regard de ces sombres applications du pouvoir et de ses artifices, qu’un nouveau contrat social semble se dessiner. Celui d’une guerre de tous contre tous. D’un régime absolutiste à l’intérieur duquel le souverain absolu et ses valets de province n’ont que faire des préoccupations du plus grand nombre, mais seulement du désir d’une volonté passionnée d’étancher leur soif de pouvoir.
Il semblerait alors que Sarkauvadet n’ai pas compris que le véritable pouvoir est avant tout le pouvoir sur soi.

Cynique conception de la République, qui ne servirait qu’à entretenir les faisceaux qui mènent au pouvoir.
Inhumaine conception de l’autre à travers ce que peut, aux yeux de Sarkauvadet, représenter le pouvoir.

Mais ce n’est pas faute de vous l’avoir dit, une espèce nouvelle d’homo-politicus est née : Sarkauvadet.

mercredi 10 février 2010

Com, com, com... Comme je le disais !



A combien se montent donc les frais de « com » du Conseil général ? Le sujet fait débat, mais voilà quelques éléments qui parlent d’eux mêmes, tirés des documents budgétaires du Département.



Ces augmentations sont indécentes dans une situation de crise alors que le budget social est trop souvent soumis à des diminutions conséquentes. C'est aussi une erreur de gestion : quand les recettes diminuent de 12 Millions d'euros, des économies de fonctionnement s'imposent. Tous les départements l'ont fait, sauf la Côte d'Or...

Un rapide calcul permet de constater que le Président du Conseil général a désormais les crédits suffisants pour affranchir 4000 lettres par jour. Le dernier est celui envoyé début janvier pour attirer son attention sur la situation qu’il fait aux Centres sociaux du département… Il y a des courriers sans réponse, et d’autres qui méritent une large diffusion. Comme ce courrier adressé aux 3000 lycéens boursiers du Département qui leur annonce la suppression des bourses départementales… dont le coût global pour le département se monte à 370 000 euros environ (à comparer au budget de la com !). Vendredi 20 février, le Président affirmait en session que ces bourses ne constituent pas une aide sociale. Mais une aide versée selon un barème de revenus, ne s’appelle-t-elle pas une aide sur critères sociaux ? Si et sans doute les bénéficiaires aussi, sinon ce n'est pas qu'une "révolution" que nous vivons, mais bien un trouble du langage. Répétons le tranquillement : la solidarité et l'aide sociale sont bien les premières compétences des Départements.

Mais un président en campagne permanente, ça justifie bien de brouiller les cartes, d’envoyer une lettre par trimestre à chaque habitant du département, d'organiser 4 cérémonies de voeux, de doubler le nombre de numéros du magazine départemental, etc, etc... Et si nous lui écrivions pour lui demander de quitter ses oripeaux de candidat permanent pour endosser les vrais habits d’un Président de Département ?

par Jean-Claude ROBERT, leader de l'oposition à François SAUVADET au Conseil Général de la Côte-d'Or

lundi 8 février 2010

CG 21: la Holding de Sarkauvadet

C’est la crise. Dans cette société civile où l’homme est un loup pour l’homme, l’instinct de nature revient au galop : protéger ses privilèges.
En ce sens, nous avons pu constater lors de la Commission Permanente du Conseil Général de Côte-d'Or de ce lundi 8 février 2010, à quel point l’instinct de survie peut parfois repousser les frontières de l’éthique et de la morale. En effet, l’un des rapports présentés à l’ordre du jour proposait au vote de l’assemblée, l’attribution de 4 subventions, d’un montant avoisinant les 47 000 euros, destinées à des propriétaires fonciers.
Or, parmi l’un des bénéficiaires, figurait un des conseillers généraux de la majorité présidentielle, Sénateur de la Côte-d’Or.
Bien qu’absent, celui-ci fût défendu par l’argument selon lequel, ces patrimoines protégés resteraient « ouverts au public ». Du fait de l’état d’urgence nécessitant l’aide de la communauté, le seigneur Houpert, en contrepartie, permettrait au peuple de fouler ses terres. Qui a dit que la féodalité était dénuée de toute charité ?
Seulement, la démocratie l’emporta. Un vote à bulletins secrets fut demandé et le seigneur déchu de sa requête.

Face à ce nouveau contrat social, un système féodal capitaliste, la collectivité gérée par Sarkauvadet avait tenté d’entreprendre une mutation, la transformant ainsi en holding, investissant de facto les dépôts, impôts des côte-d’oriens, au profit des seigneurs de la majorité présidentielle.

Alors que nous témoignons du fait que cette société voulue par Sauvadet, Léviathan des temps modernes, semblait instituer une guerre de tous contre tous, nous constatons en outre l’organisation d’une armada des dirigeants de la majorité présidentielle contre le peuple dirigé. Néanmoins, un droit de rébellion subsiste encore : la démocratie.

Nous vous l’avons dit, une espèce nouvelle d’homo-politicus a vu le jour : Sarkauvadet.

mercredi 3 février 2010

La démocratie tempérée à l’assassinat

Après le macabre épisode de son accession à la présidence du département de la Côte-d’Or, opérée par le biais de l’assassinat politique de l’ancien président UMP Louis de Broissia, le communiqué de presse du député UMP de Saône et Loire, Gérard Voisin, nous fait froid dans le dos.
En effet, Sauvadet a remis ça. Et ce sans même savoir que, qui a vaincu par le poignard périra par le poignard.

Dans ce régime qu’il semble avoir institutionnalisé, la démocratie tempérée à l’assassinat, un seul principe prévaut : tuer avant d’être tué.

Cynique conception de la politique.

Mais de ce fait, nous vous confirmons qu’une nouvelle espèce d’homo-politicus est bien née : Sarkauvadet.

mardi 2 février 2010

L’injustice territoriale : fait du prince

Lien vers info-chalon.com : communiqué de presse de M. Gérard VOISIN, député de la 1ère circonscription de Saône-et-Loire, "REGIONALES 2010 : Gérard Voisin dénonce les erreurs de casting de la liste UMP/Nouveau Centre"
http://infos-chalon.com/article.php?sid=15752&thold=0


A travers ce communiqué de presse de Gérard Voisin, député UMP de la 1ère circonscription de Saône et Loire, nous constatons avec quelle minutie, au regard de l’injuste représentation des territoires, les listes du candidat de l’Elysée furent constituées.

Après avoir décidé dans un premier temps de la tête de liste en Bourgogne, comme dans toutes les autres régions de France par ailleurs, le souverain absolu, d’après la vision qu’il a de notre région, du haut de son palais élyséen, témoigne de toute la considération qu’il a des territoires qui la compose en omettant leur juste représentation à travers le choix des candidats sur les listes qu’il défend.
En outre, François Sauvadet, son valet en Bourgogne, du fait de son silence, ne paraît pas affecté bien au contraire par cette méthode, bien rodée depuis son accession à la présidence du département de la Côte-d’Or, qui consiste avant tout à s’entourer de ses plus fidèles soldats, dont les doigts ne quittent jamais les coutures de leurs pantalons, et seulement de ceux-ci, afin de ne pas subir une quelconque gène dans son entreprise de manipulation de notre région et de ses habitants comme un moyen de parvenir à ses fins.

De fait, avec Sauvadet, la région Bourgogne ne sera-t-elle plus que la région d’un seul ? Sauvadet veut-il être ministre ? Et en ce sens, la fin justifie t’elle les moyens ?
Et bien nous répondons oui, au regard de ce témoignage du député UMP Gérard Voisin. En effet, à travers les élections régionales de mars prochain en Bourgogne, Sauvadet ne doit sembler voir en ce territoire et en ses habitants, qu’une possibilité d’ascenseur social.

Drôle de conception de l’action politique.
Triste considération de la justice territoriale.

Mais nous vous l’avons dit, une espèce nouvelle d’homo-politicus est née : Sarkauvadet.